La crypto Thaïlande, un écosystème de blockchain en pleine croissance en Asie du Sud-Est, avec des régulations claires et une adoption rapide par les particuliers et les entreprises. Aussi connue sous le nom de marché crypto thaïlandais, elle se distingue par son approche pragmatique : pas de ban, pas de panique, juste des règles bien définies. Contrairement à d’autres pays où la crypto est un terrain vague, la Thaïlande a choisi de la encadrer. En 2025, la SEC thaïlandaise exige des projets une licence officielle pour émettre des tokens, et les échanges doivent être agréés. Cela a éliminé des centaines de projets sans fondement — comme ceux que vous voyez sur les réseaux sociaux, avec des noms qui ressemblent à des blagues et des volumes à zéro.
Le minage crypto, une activité soumise à des restrictions énergétiques strictes en Thaïlande. Aussi connue sous le nom de minage de cryptomonnaies, elle est légale, mais seulement avec une autorisation du gouvernement. Sans licence, vous risquez des amendes, la saisie de vos machines, et même des poursuites. Ce n’est pas un pays où vous pouvez brancher un ASIC dans votre garage et espérer gagner en paix. La Thaïlande contrôle l’électricité, et elle ne la laisse pas aux spéculateurs. Ce qui fonctionne, en revanche, c’est le trading P2P, un moyen populaire pour les Thaïlandais d’acheter et vendre des cryptos sans passer par les banques traditionnelles. Aussi connue sous le nom de commerce crypto peer-to-peer, cette pratique a explosé depuis 2023, surtout avec la volatilité du baht. Des plateformes comme Bitkub et Zipmex permettent de trader en THB directement, avec des limites claires et une vérification d’identité simple. Et si vous cherchez des opportunités, les airdrops crypto, des distributions gratuites de jetons souvent liées à des projets locaux ou à des lancements sur Binance Smart Chain. Aussi connue sous le nom de distribution de tokens en Thaïlande, ils sont nombreux, mais attention : la plupart sont des pièges. Comme le jeton CoPuppy ou D.O.G.E (Solana), ils promettent des fortunes, mais n’ont aucune valeur réelle. La Thaïlande n’interdit pas ces projets — elle les ignore. Et si vous y participez, c’est à vos risques et périls.
Les projets qui survivent en Thaïlande ont une chose en commun : ils sont utiles. Des plateformes comme Kwenta ou Dexalot sont utilisées par des traders locaux pour accéder à des dérivés sans intermédiaire. Des projets comme ADO Protocol ou Duet Protocol attirent de l’intérêt pour leur lien avec des actifs réels. Mais ce n’est pas la mode qui fait la valeur — c’est la transparence, la communauté, et la régulation. Si un projet ne peut pas répondre à trois questions simples — qui est derrière ? Qu’est-ce qu’il fait ? Pourquoi est-il légal en Thaïlande ? — alors il ne vaut pas votre temps.
Ce que vous trouverez ici, c’est une sélection de guides, d’analyses et d’avertissements sur les cryptos en Thaïlande : des airdrops qui ont disparu, des lois que vous devez connaître, et des plateformes réelles où les gens échangent vraiment. Pas de hype. Pas de promesses. Juste les faits, les chiffres, et les leçons apprises sur le terrain.
BX Thailand était une bourse crypto thaïlandaise fiable de 2013 à 2020, spécialisée dans les échanges THB/BTC. Elle a fermé en 2020 faute d'innovation. Voici ce qu'il faut savoir sur son fonctionnement, ses frais, sa sécurité et pourquoi elle a disparu.