Un exchange fermé, une plateforme de trading de cryptomonnaies qui n’est pas enregistrée ni surveillée par une autorité financière. Also known as plateforme non régulée, it opère dans l’ombre, sans obligation de protéger les fonds des utilisateurs ni de respecter les lois anti-blanchiment. Ce n’est pas un simple échange : c’est un risque calculé. Alors que des pays comme la Thaïlande, un pays qui a interdit les plateformes P2P étrangères en 2025 pour lutter contre les escroqueries ou les Philippines, où la SEC a bloqué Binance pour non-conformité imposent des règles strictes, les exchanges fermés continuent de prospérer là où la loi n’atteint pas. Pourquoi ? Parce qu’ils promettent des frais bas, des paiements rapides, et pas de vérification d’identité. Mais derrière cette simplicité, il y a souvent un piège.
Un exchange fermé n’a pas de licence, donc il n’a pas à vous rembourser si ça part en couille. Vous pensez que vous utilisez une bourse comme Binance ? Non. Vous utilisez un site qui ressemble à Binance, mais qui n’a aucun lien avec elle. Des plateformes comme Deliondex, une fausse plateforme qui n’existe pas en tant qu’entité légale ou Cryptomus, sanctionné à 176 millions de dollars pour blanchiment d’argent ont déjà piégé des milliers d’utilisateurs. Ces plateformes ne sont pas des erreurs : elles sont conçues pour disparaître. Et quand elles disparaissent, vos crypto avec. La régulation crypto, le cadre légal qui oblige les échanges à enregistrer les utilisateurs, à surveiller les transactions et à conserver les preuves, n’existe pas pour eux. Pas de FCA, pas de SEC, pas de CBN. Juste un site web, un wallet, et un silence total après un retrait.
Vous pensez peut-être que vous n’êtes pas concerné parce que vous êtes prudent. Mais les exchanges fermés ne se présentent pas comme tels. Ils utilisent des noms familiers, des interfaces propres, des témoignages truqués. Ils font des offres trop belles pour être vraies : des récompenses en airdrop, des taux de rendement exagérés, des partenariats fictifs avec CoinMarketCap ou d’autres marques connues. Et quand vous commencez à trader, vous ne voyez pas le risque — vous voyez seulement la possibilité. Ce que vous ne voyez pas, c’est que votre argent est entre les mains de quelqu’un qui n’a aucune obligation légale de vous le rendre. Les pays qui ont interdit ces plateformes l’ont fait parce qu’ils ont vu des gens perdre tout. Pas 10 %, pas 50 %. Tout. Le sécurité crypto, la capacité à protéger ses actifs contre les vols, les arnaques et les faillites frauduleuses, ne vient pas de la technologie. Elle vient de la loi. Et sans loi, il n’y a pas de sécurité.
Les articles ci-dessous vous montrent exactement où ces plateformes ont émergé, comment elles ont trompé les gens, et pourquoi les autorités ont fini par réagir. Vous y trouverez des cas concrets : la Jordanie avant 2025, le Nigeria en 2021, les Philippines en 2025. Vous verrez comment des gouvernements ont fermé les portes, comment des utilisateurs ont perdu des millions, et comment certains ont réussi à s’en sortir. Ce n’est pas une liste de conseils abstraits. C’est une cartographie des pièges. Et si vous pensez utiliser un exchange fermé, lisez ces histoires avant de cliquer sur "Déposer".
Coinnest, un échange crypto coréen des années 2017-2018, a été fermé en 2019 après son acquisition par Bithumb. Aucun service n'est disponible en 2025. Découvrez pourquoi il a disparu et quelles alternatives utiliser aujourd'hui.