My Lovely Planet : Les cryptomonnaies qui changent la vie dans les pays en crise

My Lovely Planet, un concept qui ne parle pas d’une planète idéale, mais de la réalité où les gens utilisent la blockchain pour survivre. Ce n’est pas un projet de marketing, c’est une réponse concrète à l’effondrement des systèmes financiers. Dans certains pays, les cryptomonnaies ne sont pas une mode, c’est la seule façon de manger, de payer un médecin ou d’envoyer de l’argent à sa famille.

Stablecoins, comme l’USDT, sont devenus la nouvelle monnaie du quotidien au Venezuela, en Iran ou en Bolivie. Ils remplacent les pesos, les rials ou les bolivians qui perdent 50 % de leur valeur en une semaine. Ce ne sont pas des spéculations, c’est de la survie. Et ce n’est pas un phénomène isolé : des mineurs en Iran sont obligés de vendre leur Bitcoin à l’État à prix cassé, tandis que des familles au Venezuela utilisent des wallets pour acheter du riz en ligne. La technologie n’est pas neutre — elle devient un outil de résistance.

Régulation crypto, quand elle est trop lourde, pousse les gens vers l’illégalité ou les laisse sans accès. La Thaïlande interdit les plateformes P2P étrangères, mais les gens continuent d’échanger en privé. Le Portugal exonère les gains à long terme, mais surveille de plus en plus. Chaque loi change la manière dont les gens utilisent la technologie — pas toujours comme les gouvernements le veulent.

Vous trouverez ici des analyses qui ne parlent pas de prix ou de chartes techniques. Elles parlent de gens. De mineurs contraints. De traders qui utilisent des échanges comme LeveX ou Cryptomus malgré les risques. De tokens morts comme Daylight Protocol ou AINBNB qui piègent les débutants. Et de projets réels comme Ekubo ou Aave qui rendent la finance plus ouverte — même si peu le savent. Ce n’est pas un guide pour devenir riche. C’est un guide pour comprendre pourquoi, dans certains coins du monde, la blockchain n’est pas un investissement. C’est une question de vie ou de mort.