Quand on parle de banques suisses, des institutions historiques réputées pour leur discrétion et leur stabilité financière. Also known as banques privées suisses, they have long been seen as the safest place to store wealth, even during global crises. Mais depuis 2020, leur relation avec les cryptomonnaies, des actifs numériques décentralisés qui remettent en question le système bancaire traditionnel a complètement changé. Ce n’est plus une question d’ouverture ou de fermeture : c’est une question de survie pour les banques elles-mêmes.
La Suisse, souvent présentée comme un paradis crypto, n’a jamais été aussi prudente. Les grandes banques comme UBS et Credit Suisse ont fermé leurs portes aux entreprises de crypto en 2022. Même les banques plus petites, qui acceptaient encore les clients avec des portefeuilles Bitcoin, ont commencé à exiger des preuves de source de fonds, des déclarations fiscales complètes, et parfois même une justification écrite de chaque transaction. Pourquoi ? Parce que l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA) a durci les règles. En 2024, une banque suisse qui ne vérifie pas correctement l’origine des fonds crypto risque une amende de plusieurs millions de francs. Et ce n’est pas une menace vide : trois banques locales ont été sanctionnées en 2023 pour avoir ignoré ces exigences.
Alors, est-ce que c’est impossible d’avoir un compte bancaire en Suisse avec des cryptos ? Non. Mais c’est devenu réservé à une élite. Les particuliers qui détiennent des cryptos pour leur valeur personnelle — pas pour trader — peuvent encore ouvrir un compte, à condition d’avoir un historique clair et des documents en ordre. Les entreprises, elles, doivent prouver qu’elles sont légalement enregistrées, qu’elles paient leurs impôts, et qu’elles n’ont aucun lien avec des plateformes non régulées comme Cryptomus ou des projets sans liquidité comme Daylight Protocol. Les régulations crypto Suisse, un cadre juridique strict mais transparent qui exige transparence, traçabilité et conformité ont transformé la Suisse d’un havre en une forteresse bien gardée.
Le vrai changement ? Les banques suisses ne veulent plus être des intermédiaires pour les crypto-escroqueries. Elles veulent être des partenaires légaux. C’est pourquoi certaines proposent maintenant des services de garde de crypto sous licence, mais uniquement pour des clients institutionnels. Pour vous, particulier, cela veut dire qu’il faut choisir entre garder vos actifs sur un échange décentralisé (et assumer le risque) ou trouver une banque qui accepte encore les crypto — et préparer des dossiers aussi solides qu’un compte en banque traditionnel. Ce que vous trouverez ici, c’est une sélection d’articles qui décryptent exactement ces règles, ces exceptions, et ces pièges. Pas de théorie. Pas de promesses. Juste ce que vous devez savoir pour ne pas vous faire exclure, sanctionner, ou piéger.
En 2025, les banques suisses offrent les services les plus sûrs et régulés au monde pour les cryptomonnaies. Découvrez comment Sygnum, Bitcoin Suisse et Amina Bank garantissent garde, trading, staking et prêts avec une sécurité institutionnelle et une transparence totale.