Quand on parle de Binance Nigeria, la version locale de la plus grande bourse de crypto au monde, active au Nigeria avant 2021. Also known as Binance NG, it a été un pilier pour des millions d'utilisateurs qui utilisaient les cryptos pour contourner les restrictions bancaires et envoyer de l'argent à l'étranger. En 2021, la Banque centrale du Nigeria (CBN) a interdit aux banques locales de traiter avec les plateformes de crypto. Binance Nigeria a été poussé hors du système bancaire, mais pas hors de l'usage. Les gens ont continué à trader en P2P, en utilisant des applications comme Binance P2P pour acheter du BTC avec des naira. C'était le seul moyen pour beaucoup de sauver leur argent de l'inflation et d'envoyer des fonds à la famille à l'étranger.
La Banque centrale du Nigeria, l'autorité monétaire du pays qui a imposé l'interdiction bancaire en 2021 a changé de stratégie en 2025. Après des années de pression, elle a adopté un cadre légal. Les échanges comme Binance doivent désormais obtenir une licence de la SEC nigériane pour opérer légalement. Mais Binance n'a pas repris ses services officiels. Pourquoi ? Parce que les conditions sont trop lourdes : capital minimum, audit, conformité KYC/AML, et surtout, la limitation des activités P2P. Les utilisateurs n'ont pas attendu. Ils ont migré vers des plateformes locales comme Luno, un échange régulé qui accepte les virements bancaires et est approuvé par la SEC, ou vers des DEX comme PancakeSwap, une bourse décentralisée sur BNB Chain, accessible sans intermédiaire. Ces alternatives ne sont pas parfaites, mais elles permettent de garder le contrôle de ses actifs.
En 2025, le Nigeria n'est plus un pays où les cryptos sont interdites — c'est un pays où elles sont encadrées. Les gens ne veulent plus de l'ombre. Ils veulent de la sécurité, des garanties, et des options légales. Ce que vous trouverez ici, ce ne sont pas des guides pour contourner les règles. Ce sont des analyses réelles de ce qui s'est passé, pourquoi Binance Nigeria n'est plus ce qu'il était, et quelles solutions fonctionnent vraiment aujourd'hui. Des airdrops oubliés aux échanges fermés, des lois sur la minage aux alternatives décentralisées : tout ce que vous lisez ici est basé sur des faits, pas sur des promesses.
En 2025, le Nigeria n'interdit plus les crypto-monnaies, mais seules les plateformes licenciées comme Quidax et Busha peuvent opérer légalement. Binance est bloquée pour les transactions en naira. Voici ce que vous devez savoir.