Le blanchiment de cryptomonnaies, le processus illégal de rendre des fonds provenant d’activités criminelles apparemment légaux en les faisant passer par des transactions cryptos. Also known as lavage d’argent numérique, it is one of the main reasons governments are cracking down on crypto exchanges and P2P platforms. Ce n’est pas un problème théorique. En 2025, la Thaïlande a interdit toutes les plateformes P2P étrangères parce qu’elles étaient utilisées pour déplacer des millions de dollars volés ou issus de fraude. Même des échanges comme Cryptomus ont été sanctionnés à 176 millions de dollars pour ne pas avoir vérifié leurs utilisateurs. Le blanchiment ne se fait pas avec des bitcoins cachés dans un coffre. Il passe par des échanges non régulés, des mixers, des airdrops frauduleux, et des tokens sans valeur comme Daylight Protocol ou [Fake] Test (TST), conçus pour effacer toute trace d’origine.
Les régulateurs ne sont pas aveugles. La Banque centrale iranienne oblige les mineurs à vendre leur production à l’État, pas pour protéger les citoyens, mais pour contrôler l’argent qui sort du pays. En Suisse, des banques comme Sygnum ou Bitcoin Suisse sont parmi les seules à offrir des services crypto légaux — parce qu’elles suivent des règles strictes de connaissance client. Ce n’est pas un hasard. Là où il y a transparence, il y a moins de blanchiment. Là où il n’y a pas de vérification, il y a des arnaques. Les projets comme AINBNB ou UBERon ne sont pas des innovations financières : ils sont des couvertures pour détourner de l’argent. Et quand un token n’a aucun volume, aucune liquidité, et n’est listé sur aucun échange sérieux, c’est souvent un signe qu’il sert à cacher des fonds sales.
Les plateformes P2P, des systèmes qui permettent à deux personnes d’échanger des cryptos directement, sans intermédiaire. Also known as échanges peer-to-peer, it is a double-edged sword: they give freedom to users in countries with banking restrictions, like Venezuela or Bolivia, but they also become the favorite tool for criminals because no one checks who you are. C’est pourquoi la Bolivie, après avoir interdit les crypto pendant dix ans, les a réautorisées… mais en imposant des règles très strictes. Les stablecoins, comme l’USDT, sont devenus les préférés des utilisateurs légaux — parce qu’ils sont faciles à tracer. Le blanchiment ne prospère que dans l’ombre. Là où il y a des rapports fiscaux comme le 1099-DA aux États-Unis, ou des licences comme au Japon, les escrocs fuient. La vraie question n’est pas « les crypto sont-elles utilisées pour blanchir ? », mais « quelles plateformes permettent encore de le faire sans être repérées ? ».
Vous trouverez ici des analyses concrètes sur les cas réels de blanchiment, les régulations qui marchent, les plateformes à éviter, et les pièges qui ressemblent à des opportunités. Pas de théorie. Pas de jargon. Juste ce que vous devez savoir pour ne pas devenir un vecteur involontaire de fraude — ou pire, une cible.
Les pirates de la RPDC utilisent des ponts cross-chain pour blanchir des milliards de dollars de cryptomonnaies volées, finançant directement leur programme nucléaire. Leur méthode évolue constamment, rendant la traçabilité de plus en plus difficile.