Conformité crypto : règles, régulations et ce que vous devez savoir en 2025

Quand on parle de conformité crypto, l’ensemble des obligations légales que doivent respecter les plateformes, traders et projets pour opérer légalement dans l’écosystème blockchain. Also known as régulation crypto, it is no longer about staying out of trouble — it’s about knowing who to trust when your money is on the line. En 2025, ce n’est plus un sujet technique. C’est une question de survie financière. Si vous utilisez une plateforme qui n’est pas en conformité, vous n’êtes pas un trader : vous êtes une cible.

La SEC, l’autorité américaine de régulation des marchés financiers, mais aussi un modèle suivi par plusieurs pays comme les Philippines et la Thaïlande a bloqué Binance, sanctionné Cryptomus à 176 millions de dollars, et imposé des rapports fiscaux obligatoires avec le formulaire 1099-DA. Ce n’est pas de la répression. C’est de la clarification. Les pays qui veulent attirer les investisseurs sérieux — comme la Suisse, un des rares endroits au monde où les banques offrent une garde sécurisée, transparente et légale des cryptomonnaies — ont créé des cadres clairs. Le Japon, lui, exige des capitaux minimaux et des audits mensuels. La Thaïlande a interdit les plateformes P2P étrangères. Le Nigeria a inversé sa politique : de l’interdiction totale à la régulation encadrée. Ces changements ne sont pas des accidents. Ce sont des réponses à des années d’arnaques, de fuites de fonds et de projets fantômes comme Daylight Protocol ou Deliondex.

La sandbox réglementaire, un système qui permet aux startups de tester leurs produits sous surveillance, sans violer les lois est devenue le terrain d’expérimentation favori de l’UE et de certains États américains. Pourquoi ? Parce qu’elle évite les pièges du tout-interdit ou du tout-autorisé. Elle crée un espace où l’innovation peut grandir sans mettre les utilisateurs en danger. C’est là que les vraies solutions émergent — pas dans les airdrops sans trace, ni dans les échanges qui disparaissent comme Coinnest.

Vous ne devez pas comprendre toutes les lois. Mais vous devez savoir qui est autorisé. Qui a été sanctionné. Qui garde vos fonds dans des coffres physiques, et qui les garde dans un serveur anonyme en Roumanie. La conformité crypto n’est pas une contrainte : c’est votre filtre. Si une plateforme ne parle pas de régulation, c’est qu’elle en a something à cacher. Les projets sérieux affichent leurs licences. Les banques suisses comme Sygnum ou Bitcoin Suisse publient leurs audits. Les régulateurs comme la SEC ou la FSA japonaise publient leurs sanctions. Vous n’avez qu’à regarder.

Dans cette collection, vous trouverez des analyses concrètes : comment la SEC des Philippines a fermé Binance, pourquoi les banques suisses sont les seules fiables, comment la Thaïlande a réduit les escroqueries en interdisant les P2P étrangers, et pourquoi les airdrops sans transparence sont des pièges. Ce ne sont pas des articles théoriques. Ce sont des rapports de terrain. Ce que vous allez lire, c’est ce qui a fait perdre de l’argent à des milliers de personnes — et ce qui permet à d’autres de protéger leurs actifs en 2025.

Mary Rhoton 19 octobre 2025 1

En 2025, les entreprises de cryptomonnaies au Royaume-Uni doivent se conformer à des règles strictes de sanctions financières. L'OFSI révèle une sous-déclaration massive des violations, et les outils de surveillance blockchain sont désormais obligatoires.