Consommation énergétique des cryptomonnaies : ce qu'il faut vraiment savoir

Quand on parle de consommation énergétique, la quantité d'électricité utilisée pour faire fonctionner les réseaux de cryptomonnaies. Also known as empreinte carbone blockchain, it est souvent mal comprise, et pourtant c'est un sujet central pour l'avenir de la finance décentralisée. Ce n'est pas juste une question de Bitcoin. C'est aussi le minage, les échanges, les protocoles DeFi, et même les airdrops qui demandent de la puissance de calcul. Et oui, tout ça consomme. Mais combien ? Et surtout, par rapport à quoi ?

Le minage crypto, le processus qui valide les transactions sur des blockchains comme Bitcoin en résolvant des énigmes mathématiques. Also known as proof-of-work, it est le principal coupable quand on parle de gaspillage énergétique. En 2025, Bitcoin consomme environ 150 térawattheures par an — autant qu’un pays comme les Pays-Bas. Mais attention : ce chiffre ne veut pas dire que tout est inutile. Les mineurs cherchent l’électricité la moins chère, souvent des surplus d’énergie renouvelable qu’on ne peut pas stocker. En Iran, par exemple, les mineurs sont obligés de vendre leur production à l’État, ce qui pousse certains à utiliser l’énergie gaspillée par les centrales. En Thaïlande, l’interdiction des plateformes P2P étrangères vise aussi à réduire la consommation non régulée. Ce n’est pas une question de blocage, mais de contrôle.

Les protocoles DeFi, les systèmes financiers décentralisés qui remplacent les banques par des smart contracts. Also known as finance décentralisée, it consomment beaucoup moins, mais leur impact est sous-estimé. Ekubo sur Starknet, par exemple, réduit la consommation d’énergie jusqu’à 4 millions de fois par rapport aux anciens AMM. Pourquoi ? Parce qu’il ne nécessite pas de minage. Il utilise des preuves de validité, pas de preuves de travail. Et pourtant, beaucoup pensent encore que toute crypto = énergie gaspillée. Ce n’est plus vrai. Le Bitcoin, la première cryptomonnaie, fondée sur un modèle de minage énergivore. Also known as BTC, it reste l’exception, pas la règle. Les nouveaux projets, comme Phala Network ou Starknet, sont conçus pour être légers. Même les échanges comme LeveX ou CoinW, qui n’ont pas de minage, consomment peu — leur électricité vient des serveurs, pas des mineurs. La vraie question, ce n’est pas "la crypto consomme-t-elle trop ?" mais "quelle crypto consomme-t-elle ?"

En 2025, les régulateurs ne bloquent plus les crypto pour leur énergie — ils les encadrent. Le Japon exige des licences strictes, la Suisse garantit la transparence, et les États-Unis imposent des rapports fiscaux. Tous savent maintenant que l’énergie n’est pas un problème technique, mais un enjeu de gouvernance. Ce que vous trouverez ici, ce ne sont pas des articles qui hurlent "la crypto tue la planète". Ce sont des analyses concrètes : combien d’énergie coûte un airdrop ? Pourquoi le minage de liquidité est-il plus propre que le minage classique ? Quels pays utilisent l’énergie gaspillée pour miner ? Et pourquoi certains tokens, comme Daylight Protocol ou AINBNB, sont-ils des arnaques qui ne consomment même pas assez pour mériter d’être critiqués ?

Mary Rhoton 3 février 2025 16

Le taux de hachage du réseau Bitcoin a atteint 620 EH/s en 2025, renforçant sa sécurité mais augmentant sa consommation énergétique. Découvrez les tendances, les enjeux et l'avenir du minage.