Crypto Exchange Tax : Ce que vous devez savoir sur les impôts sur les échanges de cryptomonnaies

Quand vous vendez, échangez ou même donnez des cryptomonnaies, des actifs numériques soumis à des règles fiscales spécifiques. Also known as crypto taxes, these rules vary wildly from one country to another, and ignoring them can cost you far more than just a few euros in penalties. Beaucoup pensent que parce que les crypto sont décentralisées, elles échappent à l’impôt. Faux. Les administrations fiscales ont maintenant des outils pour suivre les transactions sur la blockchain — et elles ne rigolent plus.

Le échange de crypto, une plateforme où vous achetez, vendez ou échangez des actifs numériques. Also known as crypto exchange, it acts as the bridge between your wallet and the real economy. est souvent le point de départ de votre obligation fiscale. Chaque fois que vous convertissez Bitcoin en Ethereum, ou que vous échangez un token contre un stablecoin comme USDT, vous créez un événement taxable. Ce n’est pas une simple opération technique — c’est une transaction imposable. Dans certains pays comme le Portugal, un pays qui a réformé sa fiscalité crypto en 2023 pour exonérer les gains à long terme, les règles sont plus souples. Mais dans d’autres, comme le Japon, où les échanges de crypto sont traités comme des revenus et soumis à des taux progressifs jusqu’à 55 %, chaque échange compte. Et en Thaïlande, où les plateformes P2P étrangères sont interdites, vous ne pouvez plus éviter la traçabilité en utilisant des services non régulés.

Les pièges que vous ne voyez pas

Le plus gros danger ? Ne pas déclarer les petits échanges. Un airdrop de 50 $, un swap de 200 $, un retrait sur une plateforme comme Cryptomus — tout cela peut être imposable. Même si vous n’avez pas converti en euros, la vente d’un token contre un autre est une vente taxable. Et si vous avez utilisé une plateforme comme LeveX ou CoinW, vos transactions sont enregistrées. Les banques suisses, elles, gardent vos actifs mais ne les déclarent pas pour vous. C’est à vous de faire le travail. Les logiciels de tracking existent, mais ils ne remplacent pas la compréhension des règles locales.

Vous pensez que l’absence de déclaration ne sera jamais découverte ? Les régulateurs collaborent. La SEC en Thaïlande, la FSA au Japon, les autorités fiscales en Europe — elles partagent des données. Les plateformes comme Cryptomus ont déjà été sanctionnées pour blanchiment. Si vous avez utilisé une plateforme non régulée, vous êtes plus vulnérable. Et quand un pays comme l’Iran oblige les mineurs à vendre leur production à l’État, c’est parce que l’État veut contrôler chaque euro généré. Vous ne pouvez pas penser que vous êtes invisible.

Dans cette collection, vous trouverez des analyses concrètes : comment le Portugal traite les gains courts et longs, pourquoi le Japon impose des exigences de licence si strictes, comment les banques suisses sécurisent vos actifs sans les déclarer à la place, et pourquoi les plateformes P2P étrangères sont interdites en Thaïlande. Vous verrez aussi comment des projets comme Ekubo ou Daylight Protocol n’ont aucune valeur — et pourquoi cela n’a aucune importance si vous n’avez pas déclaré vos gains. Ce n’est pas une question de technologie. C’est une question de conformité. Et la seule façon de ne pas payer trop, c’est de bien comprendre avant d’agir.

Mary Rhoton 27 mars 2025 13

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