Crypto interdite : Quelles monnaies sont bannies et pourquoi ça change tout en 2025

Quand on parle de crypto interdite, des actifs numériques dont la possession, le minage ou l’échange est interdit par un État. Also known as monnaies numériques bannies, it représente un clash direct entre la décentralisation et le contrôle étatique. Ce n’est pas juste une question de législation — c’est une guerre d’idées. Certains pays voient dans la crypto une menace à leur souveraineté monétaire. D’autres, comme l’Algérie, craignent simplement que les citoyens ne dévorent leur électricité en minant du Bitcoin. Et puis il y a ceux, comme le Nigeria ou les Philippines, qui ont d’abord interdit, puis ont dû reculer face à la pression populaire.

Le minage de cryptomonnaies, l’activité qui valide les transactions sur les blockchains en échange de récompenses. Also known as minage crypto, it est devenu un point de tension dans les pays à énergie limitée. En Algérie, la loi n°25-10 a tout interdit : pas de minage, pas de détention, pas d’échange. La peine ? Jusqu’à un an de prison. Pourquoi ? Parce que les ménages ont branché des fermes entières de machines sur le réseau national, et que les coupures d’électricité sont devenues quotidiennes. En même temps, en Iran, le minage est encouragé — mais uniquement parce que l’État en tire des revenus et l’utilise pour contourner les sanctions. Même combat, deux mondes opposés.

Et puis il y a les plateformes de crypto, les sites où les gens achètent, vendent ou échangent des monnaies numériques. Also known as échanges crypto, it deviennent les cibles privilégiées des régulateurs. Binance a été bloqué au Nigeria, aux Philippines, et même en Turquie. Pourquoi ? Parce qu’ils ne respectent pas les règles locales de KYC, ou parce qu’ils permettent des transactions en devises nationales sans autorisation. Le Nigeria, qui avait interdit les banques de traiter avec les crypto en 2021, a dû revenir en arrière en 2025 : les gens utilisaient déjà des P2P, et les autorités ont préféré légaliser et contrôler plutôt que de perdre la bataille. C’est la même histoire partout : l’interdiction ne tue pas la demande — elle la pousse dans l’ombre.

Les crypto interdites ne sont pas toujours les plus risquées. Parfois, c’est juste la loi qui les traite comme telles. Last Survivor (LSC) ou TaoBank (TBANK) sont des tokens sans projet, sans équipe, sans avenir — mais ils ne sont pas interdits. En revanche, Binance est bloqué non parce qu’il est dangereux, mais parce qu’il est trop puissant. Ce qui compte, c’est qui contrôle quoi. Et en 2025, les pays qui veulent garder le pouvoir ne laissent plus rien au hasard.

Ce que vous allez trouver ici, c’est une cartographie claire des interdictions réelles : où les crypto sont bannies, pourquoi, et quelles sont les conséquences pour les utilisateurs. Des lois en Algérie aux restrictions en Turquie, en passant par les revers du Nigeria, vous verrez comment les gouvernements réagissent — et comment les gens s’adaptent. Pas de théorie. Pas de jargon. Juste les faits, les pays, les lois, et les vraies histoires de ceux qui vivent avec ces règles.

Mary Rhoton 20 août 2025 13

Le Koweït a interdit totalement les cryptomonnaies, y compris le mining, les paiements et les investissements. Une des régulations les plus strictes au monde, soutenue par des sanctions pénales et une vigilance accrue sur la consommation d'électricité.