Quand vous vendez, échangez ou même donnez vos cryptomonnaies, des actifs numériques soumis à des règles fiscales spécifiques dans chaque pays européen. Also known as actifs numériques, ils ne sont plus des objets du web3 sans conséquence : ils sont des biens imposables. La plupart des Européens pensent encore que les cryptos sont hors du système fiscal. C’est faux. En 2025, presque tous les pays de l’UE exigent que vous déclariez vos gains, même si vous n’avez pas touché à de l’argent liquide.
Par exemple, si vous échangez du Bitcoin contre de l’Ethereum, c’est une opération taxable. Si vous recevez des stablecoins, des cryptomonnaies liées à des devises traditionnelles comme l’euro ou le dollar. Also known as monnaies stables, ils sont utilisés pour éviter la volatilité mais restent soumis à la même règle : leur acquisition ou leur utilisation peut déclencher un impôt. En France, la France, les gains sont taxés à 30 % en prélèvements forfaitaires. En Allemagne, vous payez l’impôt sur le revenu si vous détenez vos cryptos moins d’un an. En Espagne, les gains sont intégrés à votre revenu global. Et en Italie, même les airdrops sont déclarables. Pas de pays européen qui laisse passer ça en douce.
Les banques suisses, comme Sygnum Bank, une institution financière régulée offrant des services de garde et de trading de cryptomonnaies en Suisse, vous fournissent des relevés détaillés — mais ce n’est pas à elles de déclarer pour vous. C’est à vous de faire le travail. Et si vous ne le faites pas, les autorités fiscales ont désormais accès aux données des échanges via des accords internationaux. Les plateformes comme Cryptomus, une plateforme de trading crypto sanctionnée pour blanchiment d’argent, ne sont plus des zones grises : elles partagent vos transactions avec les fiscs.
Le vrai piège ? Vous pensez que si vous n’avez pas vendu, vous n’avez rien à payer. Mais en Europe, même les transferts entre portefeuilles privés peuvent être surveillés. Et si vous avez miné, reçu des récompenses DeFi, ou participé à un airdrop, vous avez déjà un revenu à déclarer. Les programmes de minage de liquidité, un mécanisme DeFi où vous fournissez des actifs pour gagner des récompenses ne sont pas des cadeaux : ce sont des revenus imposables.
Vous n’avez pas besoin d’être un expert en comptabilité. Mais vous devez savoir ce que vous avez fait. Les outils de suivi, les historiques d’échanges, les reçus de staking — tout ça doit être conservé. Et si vous avez des doutes, ne vous fiez pas aux forums ou aux influenceurs. Les règles changent chaque année. En 2025, l’UE pousse à une harmonisation plus stricte. Ce que vous payez aujourd’hui en Pologne peut être différent de ce que vous paierez demain en Belgique. Mais une chose est sûre : le silence n’est plus une option.
Dans les articles ci-dessous, vous trouverez des analyses concrètes sur les régulations en vigueur, les erreurs courantes, et comment vous protéger sans vous ruiner. Des cas réels, pas des théories. Des chiffres, pas des promesses. Vous allez voir comment des gens ont été sanctionnés, comment d’autres ont optimisé leur déclaration, et pourquoi certains tokens — même les plus petits — peuvent vous coûter cher si vous les ignorez.
Le Portugal a réformé sa fiscalité sur les crypto en 2023 : gains à long terme exonérés, gains courts à 28 %. En 2025, les règles restent stables mais la surveillance va s'accentuer. Voici ce que vous devez savoir.