Distributed Ledger Technology : Ce que vous devez vraiment comprendre avant d'investir

La distributed ledger technology, un système de stockage de données réparti et synchronisé entre plusieurs nœuds, sans autorité centrale. Aussi connue sous le nom de blockchain, elle permet à des milliers d'ordinateurs de valider ensemble une même information, sans avoir besoin d'une banque, d'un notaire ou d'une autorité pour dire ce qui est vrai. C’est ce qui rend Bitcoin possible. C’est aussi ce qui permet à des échanges comme XBTS.io ou LFJ v2 de fonctionner sans KYC, et à des projets comme DeFi Kingdoms de mélanger jeux et finance sans intermédiaire.

Ce n’est pas juste une base technique pour les cryptomonnaies. La distributed ledger technology, un système de stockage de données réparti et synchronisé entre plusieurs nœuds, sans autorité centrale. Aussi connue sous le nom de blockchain, elle permet à des milliers d'ordinateurs de valider ensemble une même information, sans avoir besoin d'une banque, d'un notaire ou d'une autorité pour dire ce qui est vrai. C’est ce qui rend Bitcoin possible. C’est aussi ce qui permet à des échanges comme XBTS.io ou LFJ v2 de fonctionner sans KYC, et à des projets comme DeFi Kingdoms de mélanger jeux et finance sans intermédiaire.

La smart contract, un programme auto-exécutable stocké sur une blockchain qui déclenche une action quand certaines conditions sont remplies est l’un des outils les plus puissants construits sur cette technologie. Il permet à des accords financiers — comme un prêt sur TaoBank ou un airdrop de SATT — de s’exécuter sans intermédiaire. Mais il peut aussi être une faille, comme dans les cas où un contrat mal écrit a vidé des portefeuilles. Et ce n’est pas qu’une question de code : c’est aussi une question de confiance. Quand vous utilisez un pont cross-chain pour convertir WBTC en cbBTC, vous misez sur la sécurité du système de custodie. Et si ce système est centralisé ? Alors la technologie décentralisée devient une illusion.

La décentralisé, un système où le contrôle et la prise de décision sont répartis entre de nombreux participants, sans autorité unique n’est pas une mode. C’est une réponse à des problèmes réels : la censure, la corruption, les pannes de système. En Algérie, où le minage est interdit, les gens trouvent encore des moyens de participer à des réseaux décentralisés. Au Nigeria, malgré l’interdiction bancaire, les utilisateurs ont créé leur propre écosystème P2P. Ce n’est pas du bricolage : c’est de la résilience. Et tout ça repose sur la même base : une distributed ledger technology qui ne peut pas être effacée, modifiée ou bloquée par un seul gouvernement.

Vous ne comprenez pas la différence entre une bourse centralisée et une DEX ? Vous vous demandez pourquoi Tornado Cash a été sanctionné alors que c’est juste du code ? Pourquoi la taille des blocs change tout pour Bitcoin ? Ces questions ne sont pas techniques — elles sont humaines. Elles parlent de liberté, de sécurité, de pouvoir. Et dans cette collection, vous trouverez des réponses concrètes : des analyses de plateformes réelles, des airdrops qui ont marché (ou pas), des lois qui ont changé la donne, des erreurs à éviter. Pas de jargon. Pas de promesses vides. Juste ce que vous devez savoir pour ne pas vous faire avoir.

Mary Rhoton 29 novembre 2025 7

Découvrez les quatre types principaux de technologie de registre distribué (DLT) : public, privé, consortium et hybride. Comprendre leurs différences en termes de sécurité, vitesse, coût et transparence est essentiel pour les entreprises et les développeurs en 2025.