Quand on parle d'énergie Algérie, le système énergétique national basé sur les hydrocarbures et les subventions publiques. Also known as production d'électricité en Algérie, it soutient des activités comme le minage de Bitcoin grâce à des tarifs très bas, malgré les coupures récurrentes et les pressions internationales. Ce n’est pas juste une question d’électricité — c’est un enjeu géopolitique. L’Algérie, avec ses réserves de gaz et son réseau électrique surdimensionné, est devenue un terrain d’expérimentation clandestin pour les mineurs de crypto. Mais cette opportunité est-elle durable ? Et que se passe-t-il quand l’État décide de réduire les subventions ou de bloquer les accès ?
Le minage Bitcoin Algérie, l’activité de validation des transactions blockchain utilisant l’électricité locale. Also known as cryptomining en Algérie, it a explosé entre 2021 et 2023, grâce à des coûts d’électricité parmi les plus bas au monde. Des particuliers ont installé des fermes dans des garages, des entreprises ont utilisé des centrales de gaz pour alimenter des ASIC. Mais ce n’est pas un jeu sans risques. Les coupures de courant sont fréquentes, les équipements se détériorent, et l’État surveille de plus en plus. Certains projets comme énergie renouvelable blockchain, l’idée d’utiliser l’énergie solaire ou éolienne pour alimenter des nœuds blockchain. Also known as crypto verte en Algérie, it a été discutée, mais jamais mise en œuvre à grande échelle. Pourquoi ? Parce que le gaz coûte moins cher que les panneaux solaires. Et tant que les subventions existent, personne ne veut investir dans des alternatives.
Les régulations restent floues. L’Algérie n’a pas interdit les crypto-monnaies, mais elle n’a pas non plus légalisé le minage. Les banques refusent les virements liés aux échanges. Les utilisateurs doivent passer par le P2P, comme au Nigeria ou en Iran. Ce qui fait que les projets locaux — comme ceux qui tentent de créer des plateformes de paiement en crypto ou des réseaux décentralisés — peinent à se développer. La régulation crypto Algérie, l’absence totale de cadre légal pour les actifs numériques. Also known as cadre juridique crypto Algérie, it crée un vide dangereux : ni protection pour les investisseurs, ni sanction pour les arnaques. C’est dans ce vide que des projets frauduleux prospèrent, en se cachant derrière des promesses d’énergie gratuite.
Vous trouverez ici des analyses réelles sur ce qui se passe vraiment en Algérie : comment les mineurs survivent aux coupures, pourquoi certains projets de blockchain échouent malgré les subventions, et quels sont les vrais risques derrière les campagnes d’airdrop qui vantent "l’énergie locale". Pas de théorie. Pas de promesses vides. Juste ce que les gens vivent sur le terrain — et ce que vous devez éviter avant de vous lancer.
L'Algérie a interdit totalement le minage et la détention de cryptomonnaies en juillet 2025 pour protéger son réseau électrique surchargé. La loi n°25-10 punit jusqu'à un an de prison et des amendes lourdes. Une mesure radicale dans une région qui adopte progressivement les cryptos.