La FSA Japon, l'Autorité des services financiers du Japon, est l'organisme central qui encadre toutes les activités de cryptomonnaies sur le territoire japonais. Also known as Financial Services Agency, it exerce un contrôle rigoureux sur les échanges, les ICO et les services de garde, en exigeant licences, transparence et sécurité maximale.
Le Japon est l’un des premiers pays au monde à avoir légalisé les cryptomonnaies, mais cette légalisation vient avec des règles très strictes. La FSA Japon exige que chaque plateforme d’échange soit enregistrée, audité régulièrement, et qu’elle garde les fonds des utilisateurs séparément des siens. Si une plateforme ne respecte pas ces règles, elle est bannie. C’est ce qui a fait disparaître des centaines de projets sans transparence depuis 2018. Les échanges de crypto comme BitFlyer, GMO Coin ou Liquid sont les seuls à pouvoir fonctionner légalement — et ils le doivent à leur conformité totale avec la FSA.
En 2025, la FSA a renforcé sa surveillance sur les stablecoins et les projets DeFi. Toute nouvelle token issu d’un projet étranger doit être approuvé avant d’être proposé aux Japonais. Les airdrops, les programmes de minage de liquidité, même les simples promotions sur les réseaux sociaux — tout est sous contrôle. Cela limite l’innovation, mais protège les petits investisseurs. C’est pourquoi, dans les articles ci-dessous, vous trouverez des analyses de plateformes comme LeveX ou Cryptomus, mais aussi des détails sur les sanctions, les interdictions, et les changements fiscaux. Tous ces sujets sont liés à la politique de la FSA. Vous ne trouverez pas ici des conseils pour contourner la loi — seulement des explications claires sur comment le système fonctionne, pourquoi il est si rigide, et ce que cela signifie pour vous si vous vivez au Japon ou y tradez.
Si vous vous demandez pourquoi certaines cryptos ne sont pas disponibles au Japon, pourquoi certains airdrops sont interdits, ou pourquoi les banques japonaises refusent de traiter avec certains échanges — la réponse est toujours la même : la FSA. Ce que vous allez lire ici, c’est la réalité du marché crypto au Japon, sans filtre, sans publicité, sans fioritures. Juste les faits, les règles, et les conséquences.
Le Japon impose un cadre de licence extrêmement strict pour les échanges de crypto-monnaies, avec des exigences de sécurité, de capital et de conformité parmi les plus élevées au monde. En 2025, la régulation a évolué vers un système unifié intégrant les crypto aux actifs financiers.