Importations crypto : ce que vous devez savoir sur les règles, interdictions et plateformes légales

Quand on parle d’importations crypto, le transfert ou l’achat de cryptomonnaies depuis l’étranger ou via des plateformes non locales. Also known as entrées de crypto dans un pays, it englobe tout ce qui concerne l’arrivée de monnaies numériques sur un territoire, que ce soit par échange, airdrop, ou transfert bancaire. Ce n’est pas juste une question technique — c’est une question de loi. Dans certains pays, vous pouvez acheter du Bitcoin comme un café. Dans d’autres, vous risquez une amende ou même la prison. La Turquie exige une licence et un capital minimum. L’Algérie a banni tout minage et détention. Le Koweït interdit tout usage, même pour payer un service. Et au Nigeria, Binance est bloqué, mais Quidax et Busha, eux, sont autorisés. Ce n’est pas une liste de pays : c’est un terrain miné.

Les régulations crypto, les cadres juridiques imposés par les gouvernements pour contrôler l’usage, l’échange ou l’importation des actifs numériques changent chaque mois. Ce n’est pas un jeu de hasard — c’est une course aux normes. La SEC des Philippines a bloqué Binance parce qu’elle ne respectait pas les exigences d’enregistrement. Le Royaume-Uni oblige les plateformes à surveiller les transactions avec des outils blockchain pour éviter les sanctions. Le Vietnam lance un programme pilote jusqu’en 2027 pour tester comment encadrer les crypto sans les interdire. Ces règles ne sont pas faites pour compliquer la vie : elles sont là pour protéger les citoyens, ou parfois, pour protéger les banques. Mais ce qui compte, c’est que vous sachiez où vous vous situez. Si vous importez des crypto depuis l’étranger, vous êtes déjà dans le champ de ces lois — même si vous ne le savez pas.

Les échanges crypto, les plateformes où les utilisateurs achètent, vendent ou échangent des cryptomonnaies ne sont pas tous égaux. Certains sont légaux, d’autres sont des arnaques. Deliondex n’existe pas. Coinnest a disparu en 2019. Yoshi Exchange a une liquidité quasi nulle. Et certains airdrops, comme Recharge Incentive Drop, n’ont aucune trace vérifiable. Savoir ce qui est légal, c’est aussi savoir ce qui est trop beau pour être vrai. Les plateformes licenciées en Turquie, au Nigeria ou aux Philippines sont les seules qui vous protègent. Les autres ? Elles vous volent votre clé privée, pas votre argent. Et quand vous importez des crypto, vous n’achetez pas juste un token — vous acceptez un risque juridique.

En 2025, les importations crypto ne sont plus une question de technologie. C’est une question de pays, de loi, et de bon sens. Vous ne pouvez pas utiliser une plateforme interdite en Algérie, même si elle fonctionne. Vous ne pouvez pas prétendre ignorer la loi du Koweït, même si vous pensez que le Bitcoin est universel. Ce que vous allez trouver ici, ce ne sont pas des guides pour contourner les règles — c’est une cartographie claire de ce qui est permis, ce qui est interdit, et ce qui vous met en danger. Des airdrops oubliés aux licences obligatoires, des échanges fermés aux lois punitives : tout est là, sans filtre, sans flou. Vous voulez importer des crypto ? Commencez par savoir si vous êtes autorisé à le faire.

Mary Rhoton 10 novembre 2025 16

L'Iran utilise le Bitcoin pour contourner les sanctions et importer des biens essentiels. Un système contrôlé par l'État, alimenté par une électricité subventionnée, permet aux entreprises de payer à l'étranger en crypto, malgré les coupures d'électricité et les risques technologiques.