Le minage Bitcoin, le processus qui valide les transactions sur le réseau Bitcoin en échange de récompenses en BTC. Ce système décentralisé repose sur des machines puissantes qui consomment une énorme quantité d’électricité. Dans certains pays, cette consommation devient un problème géopolitique — comme en Iran, un pays où l’énergie est subventionnée mais où les réseaux électriques sont souvent à bout de souffle. C’est ici que le minage Bitcoin entre en collision avec la réalité nationale : des millions de dollars de profits potentiels contre des coupures de courant généralisées. En 2025, l’Iran est l’un des rares pays où le mining Bitcoin est encore largement pratiqué, malgré les pressions internationales et les tensions énergétiques. Ce n’est pas une activité légale officiellement autorisée, mais elle persiste dans l’ombre, soutenue par des tarifs d’électricité très bas — un avantage que peu de pays peuvent offrir.
Le lien entre minage Bitcoin, le processus qui valide les transactions sur le réseau Bitcoin en échange de récompenses en BTC. et la régulation crypto Iran, un cadre juridique flou où les autorités interdisent parfois les cryptomonnaies, mais tolèrent le mining pour ses revenus en devises étrangères. est paradoxal. D’un côté, la Banque centrale iranienne a tenté de limiter l’usage des cryptos pour éviter la fuite des devises. De l’autre, le gouvernement a autorisé des fermes de minage à grande échelle pour capter les revenus en BTC, qu’il convertit ensuite en rials ou en devises étrangères. Ce double jeu crée un terrain instable : les mineurs peuvent être fermés du jour au lendemain, comme en Algérie où une loi a interdit totalement le minage en juillet 2025. En Iran, la loi n’est pas écrite, mais elle est appliquée de façon arbitraire, selon les besoins du moment.
Les énergies renouvelables, des sources comme l’hydroélectricité ou le solaire, souvent utilisées pour alimenter les fermes de minage en Iran. jouent un rôle clé. Beaucoup de mineurs exploitent les barrages hydroélectriques du nord du pays, où l’électricité est abondante en hiver. En été, quand les barrages s’assèchent, les coupures deviennent quotidiennes — et les mineurs doivent s’arrêter ou payer des tarifs exorbitants. C’est un cycle de survie, pas de profit durable. Certains ont même recours à des générateurs diesel, ce qui rend le minage non seulement énergivore, mais aussi polluant. Ce n’est pas un modèle écologique — c’est un compromis forcé.
Les articles de cette page révèlent des réalités similaires ailleurs : en Algérie, le minage a été interdit pour préserver l’électricité ; au Koweït, il est totalement illégal ; en Turquie, les règles changent chaque année. L’Iran est un cas unique : il ne l’interdit pas, mais il ne le protège pas non plus. Les mineurs y vivent dans une zone grise, où les gains peuvent être énormes, mais où tout peut disparaître en une semaine. Ce que vous trouverez ici, ce ne sont pas des guides pour démarrer — c’est une analyse des risques réels, des lois floues, et des conséquences énergétiques d’un système qui brûle de l’électricité pour créer de la valeur numérique. Si vous pensez que le minage Bitcoin est une opportunité facile, ces témoignages vous feront réfléchir à deux fois.
L'Iran utilise le Bitcoin pour contourner les sanctions et importer des biens essentiels. Un système contrôlé par l'État, alimenté par une électricité subventionnée, permet aux entreprises de payer à l'étranger en crypto, malgré les coupures d'électricité et les risques technologiques.