Sanctions Iran : Ce que les cryptomonnaies changent dans les échanges bloqués

Quand les sanctions Iran, des mesures financières imposées par les États-Unis et l’Union européenne pour limiter les transactions internationales de l’Iran. Also known as restrictions financières sur l’Iran, they force individuals and businesses to find alternative ways to move value across borders. frappent l’Iran, les banques traditionnelles se ferment. Les transferts en dollars, les paiements internationaux, les comptes bancaires : tout est bloqué. Mais les gens ont besoin de payer, d’acheter, de vendre. C’est là que les cryptomonnaies, des actifs numériques qui fonctionnent sans intermédiaire bancaire, basés sur la blockchain. Also known as monnaies décentralisées, they offer a lifeline when traditional finance won’t. entrent en jeu. Pas de banque. Pas de vérification. Pas de permission. Juste une clé privée et une connexion internet. Ce n’est pas de la magie — c’est de la technologie simple, utilisée par des millions d’Iraniens pour survivre économiquement.

Les régulation crypto, les cadres légaux que les gouvernements imposent pour encadrer ou interdire l’usage des cryptomonnaies. Also known as lois sur les actifs numériques, they vary wildly by country. en Iran sont floues. Le gouvernement n’a pas légalisé les cryptos, mais il ne les a pas non plus interdites comme en Algérie ou au Koweït. Il les surveille. Il bloque certains échanges. Il punit les mineurs. Mais il ne peut pas bloquer la blockchain. Et c’est là que les gens trouvent leur liberté : via des plateformes P2P, des portefeuilles non-custodiaux, des ponts cross-chain. Les transactions se font en Bitcoin, en USDT, en Ethereum. Des milliers d’Iraniens vendent leurs produits en ligne et reçoivent des paiements en crypto. Des étudiants paient leurs cours à l’étranger. Des familles reçoivent de l’aide de proches à l’étranger. Sans passer par les banques.

Les contournement sanctions, les méthodes utilisées pour contourner les restrictions économiques imposées par des pays ou des blocs internationaux. Also known as circumvention tools, they rely on decentralized networks to bypass financial blockades. ne sont pas une nouveauté. Mais la blockchain les rend plus accessibles, plus rapides, et plus difficiles à arrêter. Les entreprises occidentales qui veulent faire du commerce avec l’Iran utilisent des cryptos pour éviter les amendes. Les particuliers utilisent des exchanges décentralisés comme Uniswap ou SushiSwap, pas Binance. Ils utilisent des portefeuilles comme MetaMask, pas des comptes bancaires. Ils ne demandent pas la permission. Ils n’attendent pas l’autorisation. Ils agissent.

Et pourtant, ce n’est pas sans risques. Les arnaques pullulent. Les plateformes frauduleuses promettent des gains faciles. Les clés privées sont volées. Les adresses sont suivies. Les autorités surveillent les transactions. Les gens perdent tout. Mais ils continuent. Parce que le système traditionnel leur a déjà fait défaut. La blockchain, elle, ne ment pas. Elle enregistre. Elle transmet. Elle existe.

Dans cette collection d’articles, vous trouverez des analyses concrètes sur les plateformes utilisées en Iran, les méthodes réelles de contournement, les pièges à éviter, et les alternatives fiables. Vous verrez comment les sanctions ont transformé l’usage des cryptos dans un pays sous pression. Pas de théorie. Pas de jargon. Juste ce que les gens font, ici et maintenant, pour rester connectés à l’économie mondiale.

Mary Rhoton 10 novembre 2025 16

L'Iran utilise le Bitcoin pour contourner les sanctions et importer des biens essentiels. Un système contrôlé par l'État, alimenté par une électricité subventionnée, permet aux entreprises de payer à l'étranger en crypto, malgré les coupures d'électricité et les risques technologiques.