Le trading crypto illégal, l’activité d’achat, de vente ou d’échange de cryptomonnaies en violation des lois nationales. Also known as crypto trading sans autorisation, it can lead to heavy fines, blocked bank accounts, or even prison time in countries like Algeria, Kuwait, or Nigeria. Ce n’est pas un mythe : des gens ont été poursuivis pour avoir utilisé Binance P2P au Nigeria, ou pour avoir miné du Bitcoin en Algérie. La plupart des pays n’interdisent pas les cryptos en soi — ils interdisent comment vous les utilisez. Et ce n’est pas toujours ce que vous pensez.
Les échanges sans KYC, des plateformes qui n’exigent aucune vérification d’identité pour trader. Also known as DEX non régulés, it attract users who want privacy — but also those trying to hide illegal activity. Des sites comme XBTS.io ou UniDex offrent des échanges rapides, mais ils n’ont aucune obligation légale de vous protéger. Si vous perdez votre argent, vous n’aurez aucun recours. Et si le gouvernement décide de cibler ces plateformes, vos comptes peuvent être gelés, vos fonds saisis. Ce n’est pas une question de "si", mais de "quand".
Les sanctions crypto, des mesures imposées par des États contre des outils ou des acteurs du marché crypto. Also known as interdictions de logiciels, it can turn a simple tool into a legal risk overnight. L’affaire Tornado Cash a montré que même un logiciel open-source peut être déclaré illégal. Si vous utilisez un mixeur pour masquer vos transactions, même pour des raisons de vie privée, vous pouvez être considéré comme complice d’activités criminelles. La frontière entre confidentialité et fraude est de plus en plus floue — et les autorités ne font pas de distinction.
Et puis il y a les pays où les cryptos sont carrément interdites. En Algérie, le minage peut vous valoir un an de prison. Au Koweït, posséder du Bitcoin est une infraction pénale. Au Maroc, échanger des cryptos contre des dirhams peut vous coûter des milliers d’euros d’amende. Ces lois ne sont pas des menaces vides : elles sont appliquées. Les banques suivent les transactions. Les douanes contrôlent les transferts. Et les polices locales ont accès aux données blockchain.
Les banques ont des outils pour détecter les transferts vers des échanges non régulés. Les fournisseurs d’accès Internet peuvent être contraints de livrer vos données. Les plateformes comme Binance ou Quidax, même si elles sont légales dans certains pays, partagent des informations avec les autorités quand elles le doivent. Ce n’est pas une conspiration — c’est la loi. Et si vous êtes pris, vous n’aurez pas de seconde chance. Votre compte bancaire sera bloqué. Vos actifs pourraient être confisqués. Et vous devrez payer des avocats pour essayer de vous sortir de ce pétrin.
Vous trouverez ici des analyses concrètes sur les plateformes qui vous mettent en danger, les pays où le trading crypto est une erreur, et les pièges légaux que vous ne voyez pas venir. Pas de théorie. Pas de jargon. Juste ce que vous devez éviter pour ne pas finir dans le collimateur des autorités.
En 2025, la Tunisie interdit totalement les crypto-monnaies. Posséder, trader ou miner des actifs numériques peut vous coûter jusqu'à cinq ans de prison. Découvrez les risques juridiques, les sanctions et les alternatives légales pour les citoyens tunisiens.