Quand on parle de stablecoins, des cryptomonnaies liées à une valeur stable comme le dollar ou l’euro. Also known as monnaies stables, they are the backbone of daily crypto activity, not speculation. Ce n’est pas un gadget pour traders. C’est la monnaie réelle du Web3. Dans des pays comme le Venezuela ou la Bolivie, les gens utilisent l’USDT pour acheter du pain, payer leur loyer, ou recevoir de l’argent de l’étranger. Pas parce qu’ils aiment les cryptos, mais parce que leur banque locale ne fonctionne plus. Les stablecoins, c’est la sécurité quand tout s’effondre.
Et ce n’est pas qu’un phénomène des pays en crise. En Suisse, des banques comme Sygnum ou Bitcoin Suisse offrent des comptes avec stablecoins, des prêts, du staking, et une garde régulée. En Thaïlande, les plateformes P2P étrangères ont été interdites, mais les stablecoins locaux, eux, continuent d’être utilisés en toute légalité. Pourquoi ? Parce qu’ils sont le seul moyen fiable de transférer de la valeur sans passer par les banques traditionnelles. Même les mineurs en Iran sont obligés de vendre leur Bitcoin à l’État… mais ils le transforment en USDT pour survivre. Les stablecoins, c’est la passerelle entre le système financier cassé et la réalité du terrain.
Sur les plateformes DeFi, ils servent de monnaie de base. Vous fournissez de l’USDC sur Ekubo pour gagner des intérêts. Vous échangez des DAI contre des tokens rares sans avoir à vendre votre Ethereum. Le minage de liquidité, c’est souvent du stablecoin contre du stablecoin. Et quand un airdrop comme PHA ou BTH sort, c’est souvent en USDT que les récompenses sont valorisées. Même les ETF Bitcoin au Canada, ou les rapports fiscaux 1099 aux États-Unis, passent souvent par des stablecoins pour simplifier les calculs. Ce n’est pas une mode. C’est une infrastructure.
Le vrai pouvoir des stablecoins, c’est qu’ils ne demandent pas de confiance. Vous n’avez pas besoin de croire en une banque. Vous n’avez pas besoin d’attendre un virement. Vous avez juste besoin d’un téléphone et d’un accès internet. Et ça, c’est plus puissant que n’importe quelle promesse de révolution.
Dans cette collection, vous trouverez des analyses concrètes : comment les stablecoins sont utilisés en Bolivie après la légalisation, pourquoi ils dominent les échanges P2P, comment ils sont pris en compte par les banques suisses, et même comment ils sont devenus un outil de survie face à la régulation draconienne en Iran. Vous verrez aussi les pièges : des tokens comme Daylight Protocol ou TST qui imitent la forme des stablecoins… mais n’ont aucune valeur. Ce n’est pas du marketing. C’est la vérité du terrain. Et vous allez comprendre pourquoi, dans le monde réel, les stablecoins ne sont pas une option. C’est la norme.
Les stablecoins ne servent plus seulement à trader : ils paient les salaires, financent les PME, permettent des transferts internationaux à bas coût et offrent une alternative aux banques dans les pays en crise. Découvrez les 10 usages concrets qui font d'eux la nouvelle infrastructure financière mondiale.