Quand on parle de violations change, des ruptures dans le respect des règles financières internationales, souvent liées à l’évasion de sanctions ou à l’usage non autorisé de cryptomonnaies. Also known as non-compliance crypto, it se produit quand des individus, des plateformes ou des pays contournent les lois imposées par des autorités comme l’OFAC ou l’OFSI. Ce n’est pas juste une question de règlement. C’est une lutte entre le contrôle centralisé et la possibilité réelle de gérer son argent sans intermédiaire.
Les sanctions crypto, des mesures imposées par des États pour bloquer des acteurs ou des technologies liées aux cryptomonnaies, ont changé la donne. L’interdiction de Tornado Cash par les États-Unis n’a pas seulement bloqué un outil : elle a envoyé un message à toute la communauté DeFi. Même un logiciel open-source, utilisé par des milliers de personnes pour protéger leur vie privée, a été traité comme une menace nationale. Et ça a eu un effet domino : des bourses comme Binance ont été bloquées au Nigeria, au Philippines, et même en Turquie, où obtenir une licence est devenu plus dur qu’un diplôme d’ingénieur. Les crypto interdite, des actifs ou activités totalement prohibés par un État, souvent pour des raisons économiques ou politiques ne sont plus un concept théorique — elles existent en Algérie, au Koweït, et dans d’autres pays où le simple fait de miner du Bitcoin peut vous valoir un an de prison.
Mais ce n’est pas tout. Les conformité crypto, les efforts pour respecter les lois de lutte contre le blanchiment et les sanctions financières ont créé une nouvelle industrie : celle des outils de surveillance blockchain. Les entreprises doivent maintenant prouver qu’elles ne traitent pas avec des adresses sanctionnées, même si elles ne savent pas qui se cache derrière ces adresses. C’est comme demander à un livreur de vérifier l’identité de chaque client avant de déposer un colis — sauf que dans le monde crypto, tout est public, mais personne n’est identifié. Et pourtant, les gens continuent d’échanger. Au Nigeria, ils ont créé leur propre système P2P. En Iran, ils utilisent le Bitcoin pour importer du médicament. En Jordanie, avant la loi de 2025, tout se faisait en sous-main. Ces violations change ne sont pas des erreurs : ce sont des réponses.
Ce que vous allez découvrir ici, ce n’est pas une liste de règles. C’est une carte des résistances. Des plateformes décentralisées sans KYC comme XBTS.io qui prospèrent parce qu’elles n’obéissent à personne. Des airdrops piégés comme ART Campaign qui exploitent la confiance des gens. Des échanges abandonnés comme TaoBank ou Yoshi Exchange, où la liquidité est nulle mais où les promesses sont grandes. Des lois qui changent d’un jour à l’autre, et des utilisateurs qui s’adaptent. Vous trouverez ici les histoires réelles de ceux qui ont choisi de ne pas suivre les règles — et pourquoi ils ont raison de le faire.
En 2025, le Maroc autorise les cryptomonnaies uniquement sous contrôle strict. Les violations de change étranger entraînent des amendes lourdes. Le minage reste interdit, et le e-Dirham se développe comme alternative officielle.