La régulation crypto Iran, le cadre juridique qui encadre l'utilisation, le minage et l'échange de cryptomonnaies en Iran est l'un des plus contradictoires au monde. D'un côté, le gouvernement interdit aux citoyens d'utiliser les cryptomonnaies pour les paiements ou les transferts. De l'autre, il soutient activement le minage pour exporter de l'électricité sous forme de bitcoins. C'est un paradoxe qui crée un marché souterrain florissant, où des milliers d'Iraniens utilisent des VPN, des plateformes P2P et des exchanges étrangers pour contourner les sanctions.
Le minage crypto Iran, l'activité de validation des transactions blockchain par des équipements spécialisés en Iran est presque une industrie d'État. En 2024, l'Iran était parmi les 5 premiers pays au monde pour le hashrate Bitcoin, grâce à des tarifs d'électricité subventionnés. Mais cette activité est strictement réservée aux entreprises agréées — les particuliers risquent jusqu'à 10 ans de prison si on les attrape avec une ferme de minage. Les sanctions internationales compliquent encore les choses : les banques étrangères refusent de traiter avec des entités iraniennes, et les plateformes comme Binance ou Coinbase bloquent les comptes liés à l'Iran. Même les sanctions Iran, les mesures économiques imposées par les États-Unis et l'Union européenne contre l'Iran empêchent les développeurs locaux de recruter des talents ou d'accéder à des outils de développement blockchain.
Les Iraniens ne se contentent pas de miner. Ils utilisent les cryptos comme refuge contre l'inflation galopante du rial. Des milliers de personnes achètent des stablecoins comme USDT sur des plateformes P2P pour sauvegarder leur épargne. Mais ce n'est pas sans risque : les arnaques, les escroqueries par faux airdrops et les sites de trading falsifiés pullulent. Certains projets, comme des tokens prétendument liés à des initiatives gouvernementales, sont créés uniquement pour voler des fonds. La blockchain Iran, l'écosystème technique et juridique qui entoure les projets blockchain en Iran est donc un mélange dangereux d'innovation et d'illégalité. Ce que vous trouverez ici, c'est une collection de guides, d'analyses et d'avertissements réels sur ce que les Iraniens vivent chaque jour avec les cryptos — pas de théorie, pas de hype, juste ce qui se passe dans les faits. Vous apprendrez pourquoi certains projets sont des pièges, comment les gens survivent malgré les interdictions, et ce que les autorités font réellement derrière les portes fermées.
En 2025, le minage de crypto-monnaies en Iran est légal seulement avec une licence officielle. Les restrictions énergétiques, les sanctions et le contrôle étatique rendent cette activité extrêmement risquée, malgré des tarifs d'électricité parmi les plus bas du monde.
Depuis 2025, la Banque centrale iranienne oblige tous les mineurs de cryptomonnaies à vendre 100 % de leur production à l'État à un prix fixe très bas. Une politique draconienne pour contourner les sanctions, mais qui écrase les particuliers.