Quand vous essayez d’acheter des restrictions bancaires, des limitations imposées par les institutions financières sur l’usage des cryptomonnaies. Ces règles varient tellement d’un pays à l’autre qu’elles peuvent rendre votre portefeuille crypto inutilisable — ou au contraire, vous protéger. Ce n’est pas une question de technologie, c’est une question de pouvoir : qui contrôle l’argent, et comment ?
En Suisse, un des rares pays où les banques traditionnelles acceptent officiellement les cryptomonnaies, des établissements comme Sygnum ou Bitcoin Suisse proposent des comptes sécurisés, du staking, et même des prêts contre vos BTC. Là-bas, les restrictions bancaires sont claires, encadrées, et même rassurantes. Mais en Iran, où l’État oblige les mineurs à vendre leurs cryptos à la banque centrale à prix cassé, les restrictions sont une forme de confiscation. Même chose en Thaïlande, où les plateformes P2P étrangères sont interdites depuis 2025 : vous ne pouvez plus trader librement, même si vous avez les fonds. Et pourtant, en Bolivie, où les crypto étaient interdites pendant 10 ans, la légalisation en 2024 a ouvert la porte à des millions d’usagers qui utilisent maintenant l’USDT pour survivre. La même technologie, des mondes opposés.
Ce que ces exemples montrent, c’est que les restrictions bancaires ne sont pas des obstacles techniques — ce sont des choix politiques. Certains pays veulent contrôler votre argent. D’autres veulent le protéger. D’autres encore veulent l’exploiter. Ce n’est pas la blockchain qui pose problème, c’est la manière dont les banques et les gouvernements la voient. Dans cette collection, vous trouverez des analyses concrètes : comment les banques suisses gèrent vos cryptos, pourquoi l’Iran écrase ses mineurs, comment la Thaïlande bloque les plateformes étrangères, et pourquoi la Bolivie a tout changé. Vous verrez aussi les plateformes sanctionnées, les tokens morts, et les airdrops qui ne valent rien — parce que dans un monde où les règles changent chaque mois, savoir ce qui est légal, ce qui est risqué, et ce qui est une arnaque, c’est la seule protection qui compte.
Avant la loi de 2025, les Jordaniens achetaient des crypto-monnaies en contournant les banques grâce au P2P. Désormais, un cadre légal sécurise les échanges, mettant fin à l'ère de l'ombre.
En 2025, l'Argentine interdit aux banques de traiter les crypto-monnaies, mais autorise les transactions via des prestataires agréés. Découvrez comment les Argentins utilisent les crypto malgré cette restriction, et pourquoi ce modèle unique pourrait inspirer d'autres pays.